Bon,
il fait un temps pourri, et c’est parti pour durer jusqu'à la fin de la semaine, alors je vais faire un petit retour sur la journée de
mercredi dernier au Pic …
Les
différents modèles météo nous avaient prédit un petit vent de
Sud 10/15 kmh maxi, alors qu’en fait, on s’est retrouvé avec du 20 / 30
en SE … c’était peut être prévisible vu le régime de SE qui
s’annonçait pour les jours suivants !
Bref,
une bonne vingtaine de pilotes au déco qui attendent que ça baisse
et qui finalement sont tous redescendus à pied ...
Était
ce l’effet de la soirée « Gestion des risques » du
mercredi 3 avril dernier avec l’intervention de Jean-Marc GALAN ?
Pour
ma part je ne saurai que trop recommander son excellent ouvrage :
« Gérer les
risques en Parapente ».
De
ce livre, je retiendrai entre autres à la page179, dans le
paragraphe
« Savoir
renoncer »
l’axiome
suivant :
Renoncer, c’est
progresser.
Cela peut paraître
contradictoire et pourtant, Jean-Marc GALAN écrit ceci :
« Si
vous renoncez à décoller après analyses de vos compétences, de
votre état mental/physique du jour et des conditions aérologiques,
vous aurez progressé. Si un de vos copains renonce, valorisez sa
décision. Renoncer est un signe de maturité, pas une
marque de faiblesse. »
C’est ce qui s’est passé
ce mercredi, c’est bien d’en être conscient et de le dire, car
ce jour là il y avait des pointures au Pic (Gao, Mig, Nico c …. et
d’autres pour ne citer qu’eux), mais aussi des pilotes qui
n’étaient pas des « habitués » du site.
Parfois
on avait l’impression de « molles » bien
de face sur
le déco, classique et
piégeux par SE…
Mais lorsque nous nous sommes
rendus sur le petit déco SE, y’avait pas photo, le SE était bien
là, constant et fort !
Tout
ça m’a fait repenser à cette vidéo prise dans des conditions similaires à celles de mercredi dernier, et « que les moins de
vingt ans ne peuvent pas connaître ».
Elle colle bien avec
le paragraphe Les mauvaises habitudes p181 :
« Le
cœur du problème est là : le parapente pardonne énormément.
Les mauvaises habitudes ne sont que très rarement sanctionnées par
un évènement fâcheux.
Du coup notre cerveau
retient de ces vols limite : « Ça passe! ». La
prochaine fois, dans ce type de conditions, nous nous remettrons en
l’air puisque « ça passe ! ».La fois suivante
aussi...et ainsi de suite jusqu’au jour où la chance ne sera plus
de notre côté. Le piège est bien connu dans la communauté sous
l’appellation « conscience statistique » ou encore
« mémoire optimiste ».
Je préciserai qu’à
l’époque de cette vidéo, la balise n’existait pas et qu’une
heure plus tard, le SE était tombé, et tous les pilotes présents au
déco avaient pu voler …
Allez, maintenant, pour finir, une dernière chose à propos de l’oubli d’accrochage qui avait été abordé par
Jean Marc GALAN lors de la soirée sécurité ( un pilote est mort en
2018 à Planfait).
J’ai retrouvé cette vidéo
qui date de mon monitorat fédéral en 2011, le formateur était un
pilote du pôle espoir de Font Romeu, et j’avais moi même testé
cette méthode sous portique…
Cette
technique est évoquée sur ce lien :
avec une vidéo en conditions
réelles.
Je me suis demandé ce que ça
donnerait avec une sellette cocon type hamac, sans planchette, style
ma Sup’Air Delight 1ère génération, et j’ai alors testé ça sous
portique.
Mettre les pieds derrière les
élévateurs ne nécessite pas d’être spécialement « athlétique
et explosif », comme le dit JM GALAN, mais plutôt de
s’entraîner pour choper la bonne gestuelle.
Pour rattacher la ventrale et
les cuissardes, sur la Delight, j’ai trouvé (après plusieurs
essais) le bon protocole :
1°) - Après avoir mis les
pieds derrière les élévateurs, choper le repose pied du cocon à
la main et enfiler le pied gauche puis le droit afin de se caler au
fond de la sellette en tendant les jambes au maximum.
2°) - ouvrir le cocon pour
avoir accès aux diverses sangles en maintenant les jambes bien
tendues
3°) - récupérer la sangle
de la ventrale avec l’anti-oubli, enclencher la boucle de réglage
de la ventrale en la détendant quasiment au maximum puis boucler la
ventrale en la serrant au maximum.
A ce niveau là, même sans
avoir mis les cuissardes, grâce l’anti oubli, on est déjà en
sécurité.
4°) - finir d’enclencher
les boucles des cuissardes en poussant les jambes en extension puis
refermer le capot du cocon.
Bon, à vous de jouer ....Yapluka
Loïc
Petit rajout :
A l'heure actuelle, il existe des modèles de sellettes sans boucles
(j'en possède moi même une, la Kolibri de chez Kortel Design).
Avec ce type de sellette, plus de problème donc d'oubli d'accrochage!
Par contre, personnellement, je n'utiliserai jamais ce type de sellette au Cap Canaille ou à Sicié, car en cas d'amerrissage forcé, si vous n'avez pas de quoi couper les drisses en dyneema, impossible de sortir classiquement de la sellette, donc de fortes chances de finir noyé !
Anthony AYAC qui a vécu cette situation au Cap Canaille et qui, par bonheur, s'en est sorti, pourra vous en parler mieux que moi ...
Loïc
Petit rajout :
A l'heure actuelle, il existe des modèles de sellettes sans boucles
(j'en possède moi même une, la Kolibri de chez Kortel Design).
Avec ce type de sellette, plus de problème donc d'oubli d'accrochage!
Par contre, personnellement, je n'utiliserai jamais ce type de sellette au Cap Canaille ou à Sicié, car en cas d'amerrissage forcé, si vous n'avez pas de quoi couper les drisses en dyneema, impossible de sortir classiquement de la sellette, donc de fortes chances de finir noyé !
Anthony AYAC qui a vécu cette situation au Cap Canaille et qui, par bonheur, s'en est sorti, pourra vous en parler mieux que moi ...
Excellent article ! Il aurait mérité d'être scindé en deux pour faire un article séparé avec la problématique de la sellette non attachée...
RépondreSupprimerMerci pour ses infos Loic, c'est très interessant ! J'en prends note.
RépondreSupprimerJuste petite question sur le serrage de la ventrale... Est il vraiment bon de la resserrer malgré tout ce que l'on nous rabâche en école sur les risques de twist à cause d'une ventrale trop serrée ? Si même manœuvre en vent turbulant ?
Merci d'avance de ton retour.
Loïc resserre sa ventrale à fond uniquement afin d'accéder plus facilement au sangles cuissardes.... une fois tout en ordre libre à toi de régler ta ventrale comme tu le souhaites ....
RépondreSupprimerLa même chose en conditions turbulentes tu pleures. Garder le cap pendu sous les bras où avec les jambes derrière les élévateurs ça doit pas être une sinécure.... si en plus ta voile ferme...
Tout ça pour dire qu'il vaut mieux prendre ses précautions avant et faire très attention pendant sa prévol.
Une fois que l'on est sûr d'être bien attaché reste à prendre la décision de décoller ou pas en fonction des conditions,de son niveau et de sa forme du jour ....
Willy
@ Éric : c'est vrai que j'aurais pu scinder ça en deux articles, mais bon, ce sont des réflexions qui me sont venues comme ça, mais on peut développer sur chacune des parties ...
RépondreSupprimer@ Emmanuel: comme le dit Willy, le fait de resserrer la ventrale permet de mieux pouvoir boucler les cuissardes (surtout sur la Delight version 1), mais bien entendu, une ventrale serrée à fond augmente le risque de twist en cas de fermeture et les constructeurs de voiles recommandent un réglage en fonction de chaque modèle (aux alentours d'une quarantaine de cm me semble t'il ).
Après, comme l'a très bien fait remarquer Willy, vaut mieux tout bien vérifier avant, mais les faits sont là, et personne ne peut dire que ça ne lui arrivera jamais ...
Certes le problème se corse en conditions turbulentes : il faut tout d'abord s'éloigner du relief, pendu dans sa sellette en continuant de piloter (ça peut prendre entre une et deux minutes), donc s'entraîner sur portique avant, pour voir si au bout de deux minutes on est encore capable d'effectuer le retournement pieds derrière les élévateurs.
En fait, comme on dit : "de deux maux il faut choisir le moindre".
C'est sûr que l'arbrissage reste la solution la plus "safe", mais bon, par chez nous, les arbres ne sont pas légion ...
Après, il y a aussi le retour à la pente, mais là aussi, les conséquences peuvent être dramatiques ...
Et puis, finalement la phase de retournement + passage des pieds derrière les élévateurs / réinstallation dans la sellette prend une vingtaine de secondes à tout casser ...
J'étais à la marbrière mercredi dernier
RépondreSupprimerJ'ai attendu que ça se redresse, que ça baisse, j'ai prospecté un peu plus loin face au ESE... rafaleux, je suis redescendu à pied.
Content de la ballade.
Merci Loïc pour cet article bien intéressant. Il faut que j'essaie sous portique la manœuvre.
Juste une chose, pour apporter mon grain de sel : Pendant la manœuvre notamment quand tu te raccroches, il manque deux ou trois "regards contrôle du cap" (Tu vois à quoi ça renvoie ?) Colibri
y a que les nazes qui oublient de s'attacher ... ;-)
RépondreSupprimermoi je ne me sens pas concerné !
sinon en entendant parlé de votre collègue qui a fini à l'eau à canaille (y a pas eu trop de pub ? ) C'est aussi un point + pour avoir des maillons largables... Comme moi... !
RépondreSupprimerA propos de canaille, un autre pilote bien connu dans le coin a espéré attraper une bulle devant le déco et il l'attend toujours. Bilan il a fini limite sur les gros rochers, vent de cul. Les premiers qui tombent dans l'eau vers Cassis... Il a eu de la chance car le vent était léger sud...
Un autre encore a posé à mi-pente dans la falaise ! A passé la nuit à la belle étoile et a escaladé le lendemain, sans assurage évidemment...
Bref y en a des conneries à faire...
Sinon pour faire avancer le débat sécurité, on peut prendre toutes les bonnes résolutions ça n'évitera pas l'accident "bête" genre oubli d'attache...
RépondreSupprimerDu coup je me dis qu'une chose qu'on peut tous faire collectivement c'est de toujours jeter un oeil sur nos copains quand ils s'équipent ou qu'ils se préparent à décoller... Et aussi éviter d'aller parler aux copains qui sont en train de s'attacher...
Également, coup classique, on est sur un déco merdique, on ratte un déco, c'est galère de se déplacer avec tout le barda alors on déboucle les cuissardes pour remettre sa voile en position et on redécolle en ayant oublié de les remettre....
Du coup si on doit défaire un truc, on défait tout pour être certain pas oublier un morceau.
C'est un mec qui vous dit ça qui a quand même décollé sans connecter ses élévateurs à sa sellette... il ne tenait que parce que la poulie d'accéléro était coincée et bloquait la glissade mortelle...
@ Colibri: c'est vrai que la marbrière par SE, c'est pas top, niveau orientation du vent ...
RépondreSupprimerLe bon plan c'était Genty d'où a décollé Steph ...
Pour le contrôle du cap, tu as raison, mais j'ai bien précisé qu'il fallait vraiment s'éloigner du relief avant de procéder au retournement pieds derrière les élévateurs, c'est une garantie pour éviter le retour à la pente.
@ Ksuxcle : dis donc Guillaume, je croyais qu'à l'approche de la cinquantaine tu allais devenir sérieux :-) :-) et méditer le proverbe : " Il ne faut jamais dire: fontaine je ne boirai pas de ton eau ..."
La preuve, c'est que, comme tu l'as dit, une telle mésaventure t'étais déjà arrivée ...
La question est ; " es tu sûr qu'elle ne t'arrivera plus jamais ???"
D'accord avec toi sur toutes les procédures que tu as décrites (contrôle mutuel, pas de dérangement dans les phases d'équipement, vigilance lors des décos ratés si on se déséquipe, etc ...).
Mais bon, je pense que maîtriser ce retournement pieds derrière les élévateurs, c'est se donner une chance de plus okazou ...
Pour les amerrissages, je persiste à penser que la meilleure solution est d'ouvrir toutes les boucles de la sellette (cuissardes et ventrale) à une hauteur raisonnable de la surface de l'eau pour pouvoir sortir au plus vite de la sellette lors de l'arrivée dans la flotte.
Sur un site comme Canaille, c'est vrai que la repose est encore possible dans les kékés juste avant la falaise, mais après, essayer de reposer sur les banquettes intermédiaires me paraît vachement risqué comme tu l'as justement souligné ...
Un petit détail : bien vérifier les boucles de sellette en tirant un peu dessus après accrochage... Il m'est arrivé qu'une boucle se défasse en vol parce qu'il y avait un peu de sable ou petit caillou qui s'était glissé dedans et gênait la fermeture. C'est un peu la faute à nos décos caillouteux ou après un voyage au Maroc...! Donc un peu de ménage de temps en temps ça ne nuit pas ...
RépondreSupprimerloïc c'était du 2nd degré....
RépondreSupprimereffectivement ça m'est encore arrivé cet été à St André, déco sud. J'avais oublié de m'attacher ! Je monte la voile de face, la contrôle, me retourne et me penche en avant pour la prise d'élan et décollage. Autour de moi d'utres me disent que la voile est belle mais je ne sais ps pourquoi je sens qu'il y a un truc qui ne va pas. J'arrête tout. Je vérifie sous le cocon : j'étais pas attaché !!
Vais finir par me tuer avec ces conneries...
Quelle tête en l'air... ;-)
Qui donc s'est mis à l'eau au cap canaille ? J'aime les histoires croustillantes ;-)
RépondreSupprimerC'est pas Mig ? (Houu le délateur !!!)
RépondreSupprimerHey, il beau le Bauju, un vrai cochon pendu ! :)
@ 6ril : grouiiiiiiik !!!
RépondreSupprimermig ? connait pas!!!! et puis juste de l 'eau jusquau hanches ça compte pas , faut mettre la tete dans l'eau pour etre validé plongeon , mais il parait que certains l'ont fait ....
RépondreSupprimerJe viens de reprendre mon carnet de vol et en effet, le 24 juillet 2016, j'ai fini à la flotte à Cap Canaille.
RépondreSupprimerCe jour là on est 4 pilotes, Bams, Willy Rolland et moi même.
Premier vol, c'est assez faiblard et après qq zig zags devant le déco je me repose.
Le second, je suis satellisé et doit m'y reprendre à plusieurs fois pour poser.
Le troisième et dernier vol, le vent à faibli et je pense qu'il est un peu travers, donc moins de rendement. A la sortie du déco, je passe direct sous le niveau de la crête. Je me colle pour essayer de remonter, mais rien n'y fait je descends inexorablement.
Qq jours auparavant, Marcos avait rallié Cassis en vol après un plan de vol assez similaire (il était en peak 3), et prends la décision de voler en direction de cassis en espérant atteindre la plage (je suis en Artik 4).
J'ai en mémoire un vol de Guillaume C et Bams, durant lequel ils posent sur une petite plage au pied de la falaise. Rolland m'avait également parlé d'une vache à gauche du déco avant de décoller, mais je n'y ai pas pensé en l'air car elle se trouve en direction du large.
Essayant donc de rallier Cassis, je m'aperçois que je ne suis pas à finesse de la terre ferme, et à la vue des énormes blocs de pierre dans lequel j'ai peur de me casser les jambes en cas d'atterrissage brutal, je prends la décision de me poser dans l'eau à une vingtaine de mètres du bord.
J'ai à ce moment là dégrafé la sangle du thorax, ouvert les attaches de la jupe de ma sellette cocon (Kuik 2 de chez Kortel).
Ayant les pieds a l'intérieur du cocon, j'ai essayé de défaire la ventrale car je ne pouvais pas glisser et pensais qu'il serait plus facile de m'extraire du cocon. Celle ci étant en tension, impossible de le faire en gardant le cap, car je devais remonter une jambe pour diminuer la tension, ce qui me faisait tourner (soit loin du bord, soit sur la falaise).
A quelques mètres du "sol", je me rappelle avoir essayé de freiner ma voile pour qu'elle tombe bien derrière moi, tout en initiant une sorte de plongeon en avant : je savais que sortir de la sellette comme si j'enlevais un baudrier, donc par le haut, et surtout ne pas faire de grands mouvements pour ne pas me retrouver ligoté dans les suspentes.
Par chance, rien de tout ça n'est arrivé, je suis sorti très facilement de la sellette et me suis éloigné du parapente. J'ai nagé jusqu'au bord et suis monté sur le rocher, et après près de 30 minutes de grands gestes sur le bord et de sifflements, un bateau est venu me chercher. Je me suis donc remis à l'eau et après avoir décroché un élévateur, j'ai passé un bout dedans, pour tirer la voile un peu vers le large pour ne pas que le bateau se prenne l'hélice dans les suspentes et sur les rochers, puis nous avons remonté la voile dans le bateau en faisait attention de le faire par le bord de fuite pour ne pas déformer la structure avec le poids de l'eau. Ils m'ont ramené au port où j'ai retrouvé Bams et Willy pour une bonne glace.
Drôle de mésaventure mais qui se termine bien pour moi.
Penser à enlever le maximum de sangles avant d'amerrir
Ne pas rester près des suspentes une fois dans l'eau
Ce n'est que du matériel, donc même si on doit abandonner le matos dans l'eau c'est pas grave, autant dire que seul : impossible à sortir de l'eau
Le plus grand danger ne me semble pas être en eau calme, mais de poser près d'une rivière sur la terre ferme et avoir un bout d'aile qui se ferait prendre dans le courant. Autant dire qu'il serait impossible de lutter et de se défaire de la sellette alors qu'on serait en train de se faire tracter!
Anthony
Merci Antho pour ce commentaire pédagogique et instructif ...
RépondreSupprimerPour ce qui est de sortir de la sellette, je suis allé voir le système d'attaches de la Kuik 2, et effectivement leur conception est particulière en ce sens qu'il suffit de boucler les deux cuissardes pour être totalement attaché ...
Bon, on va dire que moins il y a d'opérations à faire, moins on a de chance d'en oublier, et donc que ça concourt à plus de sécurité !
Mais par contre, comme tu l'as dit, une fois que les sangles sont en tension, ça doit être galère pour défaire les boucles, même en ouvrant au maximum le réglage de la ventrale ...
En fait, il faut se faire un protocole de déséquipement en situation de vol (sous portique bien sûr ) en fonction de sa sellette, car il existe de nombreux systèmes d'attache et de bouclage (cuissardes indépendantes, anti-oubli en "T" ou autre pour la ventrale, etc ...) et une bonne maîtrise de ces opérations peut vraiment servir okazou ...
Merci pour ce retour ! T'as eu de l'intelligence avant de te mettre à l'eau et de la chance.... Un autre pilote, a posé sur les gros rochers dont tu parles et s'est bien fait mal. Le salut en sortie déco au sémaphore c'est à gauche. Mais faut avoir repéré avant car non visible une fois décollé...
RépondreSupprimerMerci Loic et Antho pour cet article et commentaires super intéressants ! Article à archiver !
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